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vendredi 1 août 2008

GRANDS LACS - JOUR 9 – CHICAGO

Ce matin, nous changeons de motel pour celui qui nous avait accueillis lors de notre arrivée mouvementée et tardive la semaine précédente. Bien que le « check-in » soit prématuré, on nous permet de déposer nos bagages dans notre chambre qui sera nettoyée dans la matinée.
On s'apercevra néanmoins qu'on nous a compté la location d'un coffre-fort qu'on n'a jamais demandé et dont on n'a jamais eu la clé ! Ce n'est pas la première fois qu'on nous fait le coup...

C’est l’heure de rendre la voiture si nous ne voulons pas payer une nouvelle journée de location. Aujourd’hui, nous n’en avons pas besoin pour aller en ville. Ce n’était pas notre intention, mais l’expérience d’hier nous en aurait dissuadés.

A l’aéroport, nous empruntons les longs couloirs qui mènent à la station de métro. Nous prenons un « pass » illimité pour la journée 5,75 usd (14 usd pour 3 jours) et en route pour le Centre Ville.

Du 108ème étage de la Sears Tower et ses 442 mètres, nous profitons du panorama sur la "Windy City" gigantesque.




Pendant 22 ans, elle a été la plus haute du monde. Depuis, dans cette folle course aux records, elle a été détrônée par le Burj Khalifa de Dubaï, achevé en juillet 2007 et qui culmine à 818 mètres.

Ensuite c’est au Chicago artistique que nous nous attaquons. Au cœur même de la ville, à l’intérieur du Loop, les artistes contemporains s’exposent à même la rue. En ce qui nous concerne, c’était juste pour la curiosité…


« Le flamand rose » de Calder

« Les Quatre Saisons » de Chagall

« Chicago Picasso » de Picasso


"Miss Chicago" de Miro
et

« Le Monument à la Bête » de Dubuffet
Nous sommes dans le Cook County et son fameux hôpital, mais aussi son temple le plus haut du monde : 122 mètres.
Nous poursuivons notre errance dans le quartier des théâtres. Il a finalement fait très beau.

Quelques mésaventures sur le chemin du retour, de nuit, dans le métro qui tombe en panne. Un coup on nous prie de rester dans la rame, un coup on nous demande d’en descendre, puis de remonter et après une longue attente, de redescendre enfin pour attendre la rame suivante.
A noter que nous ne nous sommes jamais sentis en insécurité malgré l'heure tardive.


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